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il corpus scripta


esplorazioni verbali


invenzioni verbali


Pietro Capparoni, Lazzaro Spallanzani, 1941

concordanze di «vous»

nautoretestoannoconcordanza
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1941
reste du crédit, à vous faire avoir l'association
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avoir l'association que vous paraissez désirer. Les circonstances
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enfin en état de vous annoncer, que je ferai
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feu mon père. Il vous les destinait et je
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par là je puis vous prouver en partie le
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de tout ce que vous avez bien voulu m
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bien gouter et que vous savez si bien exprimer
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livre a été pour vous un régal, votre obligeante
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Croyez que je ne vous fais point de complimens
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presque indécens entre philosophes. ¶ «Vous m'avez surpris fort
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part du désir que vous auriez d'être correspondant
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ferai un plaisir de vous recommander dans ce corps
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Société royale, monsieur Needham vous a donne un très
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très-bon conseil en vous écrivant de lui faire
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vos excellentes dissertations que vous m'aviez annoncées, et
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annoncées, et dont je vous réitère mes justes remercîmens
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les thèses latines que vous avez placées à la
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de l'ouvrage, que vous attribuez l'origine de
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animalcules à des oeufs. Vous avez raison de supposer
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cher monsieur, que je vous renvoie là dessus aux
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Contemplation de la nature. Vous y verrez mieux ce
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Je ne puis trop vous exhorter, monsieur, à continuer
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que j'avais à vous dire, dans les articles
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conserver. Je suppose que vous avez ce traité que
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Il me parait que vous êtes rongé du zèle
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que je désire que vous conserviez pour le bien
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du genre humain, auquel vous serez toujours utile par
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et par vos lumières. Vous savez aussi bien que
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que du choix, et vous entendrez à le faire
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devenir des mondes pour vous! Mais ne multipliez pas
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recherches; je préférois que vous n'en suivissiez que
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seroit moins partagée, et vous verriez mieux et plus
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un autre champ où vous avez déjà fait d
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commerce de lettres avec vous. Il ne vous ont
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avec vous. Il ne vous ont pas dit encore
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de leur vie à vous montrer et qui ne
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montrer et qui ne vous échapperont pas si vous
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vous échapperont pas si vous continuez à leur donner
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bouilli. Je sais que vous l'avez dit, parce
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avez dit, parce que vous l'avez vu. Ce
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que nous le pensons. Vous avez su légitimer ces
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bâtards: multipliez tant que vous les pourrez les preuves
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preuves de leur légitimation: vous rendrez un service important
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la théologie naturelle, et vous étayerez les grands principes
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Mr. Billon ¶ «Monsieur, ¶ «Je vous dois une lettre depuis
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m'ont empèché de vous donner des mes nouvelles
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sont généralement goûtées, et vous avez mérité la reputation
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Monsieur Haller à qui vous avez fait pervenir pareillement
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de raisonner, cependant, ne vous étonnez pas, car je
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où je le trouve, vous avez combattu mes consequences
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une classe inférieure. Si vous aviez meme, au lieu
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espèce dans vos infusions, vous ne seriez pas en
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envisager ces objets, que vous ne devriez pas non
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sur cette matière. Je vous rémercie en attendant pour
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les trois exemplaires, que vous avez fait parvenir a
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même. Excusez, s'il vous plait, ce chiffon de
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je me sers, pour vous écrire; j'avais dessein
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et de ne pas vous mander ce bruillon plein
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différé que trop de vous donner de mes nouvelles
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mes nouvelles, et de vous remercier de toutes vos
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J'aurois désiré que vous aussiez pû faire quelques
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d'être connu de vous et que mon nom
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jamais venu jusqu'à vous, de vous le recommander
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jusqu'à vous, de vous le recommander. Indépendamment de
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voulu se charger de vous remettre un exemplaire d
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a environ deux ans. ¶ «Vous verrez, monsieur, si vous
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Vous verrez, monsieur, si vous prenez la peine de
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plus de confiance si vous en prenez une opinion
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livre utile dans lequel vous m'instruisez. Vous donnez
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lequel vous m'instruisez. Vous donnez le dernier coup
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de votre tems, je vous demanderais quelques nouvelles des
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Je me rapporte à vous, monsieur, sur tour les
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très-approfondies, sont de vous, monsieur, et sont dignes
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être. Je vaudrais pouvoir vous remercier dans votre belle
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belle langue italienne que vous parlez avec tant de
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me reduisent à dicter. ¶ «Vous avez très-grande raison
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nature. Il parait que vous mettez autant d'exactitude
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On ne peut après vous avoir lu vous refuser
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après vous avoir lu vous refuser la plus parfaite
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et d'observer, je vous considère comme naturaliste, physicien
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génération et celui dont vous occupez actuellement sur la
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réproche injuste qu'on vous a fait d'avoir
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de la campagne dont vous jouissez au milieu de
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et votre prudent economie vous ont procuré d'agréable
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dans le lieu que vous avez embelli, fait qu
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embelli, fait qu'en vous adréssant cette lettre mon
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mon intention soit de vous donner une autre espèce
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dans des détails je vous dirai pour la satisfaction
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que mon mari qui vous embrasse a beaucoup maigri
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me fait espérer que vous viendrez a Padoue: oserai
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a Padoue: oserai je vous offrir une chambre? Toute
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famille est empressée à vous prouver notre estime, notre
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amitié, et notre reconnaissance; vous nous fairez un vrai
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un vrai présent, et vous serez en toute liberté
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du coeur; purroit-elle vous tenter? ¶ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . …J'ai besoin
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J'ai besoin que vous soyez à Padoue; vous
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l'heure que je vous écris il n'est
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il n'est plus. Vous n'avez pas besoin
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pas besoin que je vous fasse sentir toute la
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grandeur de cette perte, vous qui sçavez, comme moi
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jamais un Haller. Assurez vous qu'il n'y
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têtes comme la sienne. Vous ne sçoriez vous représénter
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sienne. Vous ne sçoriez vous représénter tout ce que
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vous soyez à Padoue; vous connaissez le pays: vos
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est bien dommage que vous ne soyez pas venu
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avoir le plaisir de vous voir. Vous m'avez
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plaisir de vous voir. Vous m'avez ôté toute
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monsieur, vos docteurs ne vous ont-ils pas ordonné
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patience et espérer que vous retirerez un grand profit
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santé; repetez-moi, je vous en prie, que vous
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vous en prie, que vous vous portez non seulement
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en prie, que vous vous portez non seulement mieux
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toute ma famille qui vous offrent leurs respects. ¶ «Une
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de me tranquilliser, je vous en prie143 . ¶ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . …Adieu illustre
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pour l'amitié que vous méritez à tant de
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Italie, de la quelle vous êtes l'ornement. J
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attends quattre lignes de vous pour ma tranquillité; ne
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de l'avantage de vous y voir et de
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y voir et de vous y entendre. Néanmoins il
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de l'avantage de vous voir; mais si nous
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attachement sincère que nous vous avons voués avec tous
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m'a chargé de vous faire bien des compliments
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sa part et de vous remettre la lettre ci
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ses articles qui parait vous intéresser beaucoup et qui
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est le desir que vous y manifestez d'être
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Berlin; et, comme je vous ai déjà donné a
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mérite, je veux bien vous en donner encore cette
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ma susdite académie de vous recevoir au nombre de
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prie Dieu qu'il vous ait en sa sainte
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ai l'honneur de vous notifier votre aggrégation à
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de ses recherches et vous communique ses découvertes physiques
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ses découvertes physiques. Poussiez vous, monsieur, jouir longtemps de
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avantages, que vos talents vous ont procuré! ¶ «J'ai